Quand je le reverrai,
Je voudrai le frapper,
Lui arracher le coeur,
Et faire couler le sang de ma rancoeur.
Mais je ne pourai pas,
Je me jetterai dans ses bras,
Et je caresserai délicatement,
Son doux corps d'amant.
Quand je le reverrai,
Je voudrai l'étouffer,
Que ses poumons implosent,
Qu'il suffoque sous le poids de mes larmes.
Mais je ne pourai pas,
Je prendrai son visage entre mes petits doigts,
Et embrasserai tout doucement,
Ses lèvres que j'aime tant.
Quand je le reverrai,
Je voudrai l'injurier,
Lui crier qu'il est un assassin,
Que le sang de la mort dégouline sur ses mains.
Mais je ne pourai pas,
Je lui chuchoterai tout bas,
Ces trois mots sublimes;
"Je t'aime".
_______________________________________
Il y a des fous,
Qui cherchent l'amour et le bafouent,
Il y a des abrutis,
Qui fuient l'amour toute leur vie.
Je voudrai le frapper,
Lui arracher le coeur,
Et faire couler le sang de ma rancoeur.
Mais je ne pourai pas,
Je me jetterai dans ses bras,
Et je caresserai délicatement,
Son doux corps d'amant.
Quand je le reverrai,
Je voudrai l'étouffer,
Que ses poumons implosent,
Qu'il suffoque sous le poids de mes larmes.
Mais je ne pourai pas,
Je prendrai son visage entre mes petits doigts,
Et embrasserai tout doucement,
Ses lèvres que j'aime tant.
Quand je le reverrai,
Je voudrai l'injurier,
Lui crier qu'il est un assassin,
Que le sang de la mort dégouline sur ses mains.
Mais je ne pourai pas,
Je lui chuchoterai tout bas,
Ces trois mots sublimes;
"Je t'aime".
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Il y a des fous,
Qui cherchent l'amour et le bafouent,
Il y a des abrutis,
Qui fuient l'amour toute leur vie.